Les peines d'emprisonnement d'un mois restent encore et toujours impossibles

Les peines d'emprisonnement d'un mois restent encore et toujours impossibles

Le juge ne peut prononcer une peine d'emprisonnement ferme d'une durée inférieure ou égale à un mois, même si cette peine est prononcée conjointement avec une autre et se cumule avec elle sans confusion possible.

Un prévenu a été condamné, pour des faits de violences aggravées et menaces, aux peines de deux ans d'emprisonnement dont six mois avec sursis probatoire, et à six mois d'emprisonnement pour des faits d'évasion.Le prévenu et le ministère public (...)
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