La société C. a confié la maîtrise d'oeuvre d'une opération de construction à un cabinet d'architecte et la réalisation du lot gros-oeuvre à la société G., depuis en liquidation judiciaire. Cette dernière a sous-traité à la société S. la construction de pieux en béton. Le cabinet d'architecte n'a réglé qu'une partie du montant des travaux réalisés, certains pieux ayant été mal implantés, à la suite d'une erreur commise par la société G. La (...)
Cet article est réservé aux abonnés