Encourt la censure l'arrêt d'appel qui se borne à relever qu'il était stipulé dans l'acte de cession de parts sociales que le prix de cession avait été payé par le cessionnaire au cédant, pour en déduire qu'il se trouvait libéré de la dette préalablement contractée envers lui.
Suivant reconnaissance de dette datée du 11 mars 2010, un homme a prêté la somme de 20.000 € à un tiers devenu peu après gérant de société, lequel lui a cédé en 2015 la (...)Cet article est réservé aux abonnés