L'agression violente par les Cosaques contre le groupe de rock Pussy Riot lors d’une performance artistique aux JO de Sotchi s’analyse en un traitement dégradant au sens de la Convention EDH.
Le groupe punk Pussy Riot, connu pour ses performances impromptues où il interprète des chansons critiques à l’égard du gouvernement, a été agressé par des Cosaques alors qu’ils interprétaient une nouvelle chanson à Sotchi, pendant les Jeux olympiques d’hiver (...)Cet article est réservé aux abonnés