Le principe de la confidentialité des correspondances adressées par l’avocat à ses clients ne s’impose pas à ces derniers.
Une avocate, intervenant au soutien des intérêts de Mme A. à l'occasion de la saisie immobilière de son immeuble d'habitation, a reçu, par l'intermédiaire de celle-ci, un pouvoir de M. B. pour se porter adjudicataire du bien. Par jugement du mois de septembre 2008, l'immeuble a été adjugé à Mme C. pour le compte de celui-ci. Alléguant que M. B., décédé en avril 2012, s'était engagé, dès l'apurement de la dette envers le créancier poursuivant, à (...)
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