Ne sont pas coupables de diffamation et injures publiques envers un particulier les journalistes qui ont mené une enquête sur des abus sexuels au sein d'un syndicat étudiant car il s'agit d'un sujet d'intérêt général associé à la libération de la parole des femmes en matière d'agressions sexuelles.
Un individu a porté plainte et s'est constitué partie civile du chef de diffamation publique envers un particulier en raison de la publication d'un article (...)Cet article est réservé aux abonnés