C'est à l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection et non à la direction générale du travail qu'il revient de statuer sur les demandes de reconnaissance du statut de lanceur d’alerte dans les installations nucléaires.
Entre 2013 et 2020, un salarié a signalé à plusieurs reprises des faits relatifs aux conditions de travail au sein d’installations nucléaires où il a exercé et a demandé en conséquence à l’Autorité de sûreté (...)Cet article est réservé aux abonnés