L'entrepreneur, qui a choisi lui-même la peinture à l'origine des désordres et qui se borne à rappeler qu'il ne l'a pas fabriquée, ne rapporte pas la preuve d'un événement revêtant les caractères de la force majeure, exonératoire de sa responsabilité.
Un syndicat des copropriétaires a fait procéder à un ravalement de façades.L'entrepreneur qui a effectué les travaux a acquis la peinture auprès d'un fournisseur qui s'est lui-même fourni auprès du (...)Cet article est réservé aux abonnés