L'indemnité d'éviction à hauteur des frais d'adaptation ainsi qu'à la valeur nette des immobilisations lors du départ des lieux ne viole pas le principe de réparation intégrale.
Une société a donné à bail à une autre société un local à usage commercial puis en a refusé le renouvellement. Suite à la restitution des locaux, la société a assigné la bailleresse en paiement d'une indemnité d'éviction. La cour d'appel de Nancy a admis l'indemnité mais en a limité le montant. Le 21 janvier 2014, la Cour de cassation rejette le pourvoi au motif que les juges du fond n'ont pas violé le principe de réparation intégrale de la (...)
Cet article est réservé aux abonnés