Quand bien même ils ne seraient pas destinés à être rendus publics, des propos dénigrants à l'égard de la direction envoyés par le salarié au moyen du téléphone mis à sa disposition par l'employeur bénéficient d'une présomption de caractère professionnel et peuvent être retenus au soutien d'une procédure disciplinaire.
Un salarié engagé en qualité de "business unit manager" s'est vu confier, en sus de ses fonctions, celles de conseiller du (...)Cet article est réservé aux abonnés