L' astreinte conventionnelle s'analyse en une clause pénale

L' astreinte conventionnelle s'analyse en une clause pénale

L'astreinte conventionnelle s'analyse en une clause pénale qui s'applique du seul fait d'une inexécution contractuelle. 

Lors de la vente de leur immeuble, des vendeurs se sont engagés à faire enlever une jardinière établie sur le domaine public, sous astreinte journalière. L’acquéreur a demandé la liquidation de cette astreinte conventionnelle, mais sa demande a été déclaré irrecevable par un juge de l’exécution.Pour obtenir paiement de la somme convenue, l’acquéreur a diligenté une saisie-vente et deux saisies-attribution. Les vendeurs ont alors demandé au juge (...)
Cet article est réservé aux abonnés
Vous êtes abonné ?
Identifiez-vous
Vous souhaitez vous abonner ?
Découvrez nos formules