Le licenciement d'une salariée qui a agi en justice contre une discrimination sexuelle peut s’apparenter à des représailles et réduire à néant la protection contre la discrimination.
L’affaire concerne le licenciement de la requérante après qu’elle a porté plainte pour discrimination fondée sur le sexe. En 2017, un juge du travail a accueilli l’action pour discrimination fondée sur le sexe que la requérante avait engagée contre son (...)Cet article est réservé aux abonnés