Le tribunal judiciaire de Paris juge disproportionnée la mesure réclamée par l'Etat de suspendre pour trois mois de la plateforme chinoise en France.
A la suite de la découverte, sur le site internet de commerce en ligne Shein, de produits illicites dont des poupées pédopornographiques, des armes de catégorie A et des médicaments interdits, l'Etat a demandé la suspension pour trois mois de la plateforme chinoise. Par un jugement rendu le 19 décembre (...)Cet article est réservé aux abonnés